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Yamaha
DT 50

Commercialisé entre 1978 et 2011
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Accessoires et pièces Yamaha DT 50

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Yamaha DT50 : de la trail à la supermotard

C’est en 1978 que le DT50 de Yamaha entame sa longue carrière. Le succès commercial se révèle immédiat. Sa boîte à quatre rapports et son moteur puissant séduisent rapidement les jeunes. Il prend un coup d’arrêt en 1980, avec le passage vers la boîte automatique. Pour autant, le cyclomoteur ne cesse d’évoluer durant les 30 ans qui suivent. En 2003, deux nouveaux modèles coexistent sur le marché : l’enduro et la supermotard. L’excellente résilience du DT50 et son entretien abordable en font la coqueluche des jeunes jusqu’en 2011, année où il disparaît définitivement. Sur La Bécanerie, retrouvez des pièces type origine pour tous les modèles de Yamaha DT50, avec notamment des pièces de carénage pour DT50 et des kit déco DT50.

Un moteur réputé

Le moteur du DT50 est, à l’origine, un monocylindre à deux temps, de 49,75 cm3, refroidi par air. Yamaha le modernise en 1996 grâce à un Minarelli AM6, plus performant. Ce nouveau moteur accorde au DT50 une puissance de 2,8 CV à 6 750 tr/min. S’il reste bridé à 45 km/h, il se révèle tout de même capable d’atteindre et de maintenir les 85 km/h. Du début à la fin de la carrière du cyclomoteur, c’est un carburateur Dell’Orto de 16 mm qui assure la combustion. En ce qui concerne l’allumage, un boîtier CDI remplace les rupteurs en 1985. Enfin, son réservoir de 11,5 L et sa consommation de 3,3 L aux 100 km vous garantissent une autonomie conséquente.

Un embrayage qui s’adapte

La gestion des vitesses du DT50 subit beaucoup de modifications au fil du temps. À l’origine, le cyclomoteur se dote d’un embrayage multidisque en bain d’huile, proposant quatre rapports et une transmission par chaîne. Avec les normes de 1980, qui interdisent les boîtes manuelles, la mécaboîte s’équipe d’un variateur et d’un embrayage centrifuge. Une dizaine d’années plus tard, le variateur disparaît et, en 1996, les boîtes manuelles réalisent leur grand retour en France. Dans les mois qui suivent, l’embrayage gagne un rapport à cinq puis à six vitesses.

Des parties cycles qui évoluent

Tout au long de ses 33 ans de commercialisation, la structure du deux-roues connaît de nombreux changements. Aux origines, le DT50 se construit autour d’un cadre tubulaire en acier à simple berceau. Le cyclomoteur subit aussi une modification substantielle de son carénage à la fin des années 90. Il abandonne son phare rond et fait peau neuve pour se rapprocher des designs modernes.

La disparition du DT50

Le DT50, comme toutes les mécaboîtes de son époque, est victime des normes antipollution en Europe. En 2011, la norme Euro 3 a raison du cyclomoteur après plus de 30 ans de commercialisation. Son moteur à deux temps, qui s’est bâti une excellente réputation, ne répond pas aux nouvelles obligations. Pour Yamaha, passer vers un quatre temps ne représente aucun intérêt financier. La marque décide alors de privilégier les scooters.

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